les Harkis ou l'histoire d'un génocide



Le gaullisme. Le repère, la bonne pensée que revendiquent les hommes politiques en manque de reconnaissance et/ou à cours de programme. A l'instar des personnages de télé qui s'auto-impressionnent en rabâchant les citations de personnages célèbres (et disparus de préférence), s'autoproclamer "gaulliste", c'est s'octroyer une légitimité pour appuyer les idées que le monde politique souhaite faire passer auprès d'un peuple en partie mal informé...




Une fois n'est pas coutume, le texte (long !) à venir n'est pas de moi. Les mots qui le composent sont le condensé d'un prélèvement fidèle des ouvrages suivants "Commando Georges et l'Algérie" d'après du lieutenant colonel Bénésis / "le drame des Harkis" d'après Abd-El-Aziz Méliani / B. Moinet-"Ahmed, connais pas.."". et recopiés lettre par lettre sur mon clavier lors d'un séjour de quelques jours chez mes parents en Corse, où dorment de nombreux livres relatifs à la guerre d'Algérie. Puis enfin réorganisé durant le voyage retour en bateau ce jour, en espérant vous soumettre une lecture enrichissante et passionnante. J'espère qu'il fera l'objet de votre lecture.


Je ne fais l'apologie de rien et ne cherche à faire passer aucun message. En retranscrivant ces faits relatés, j'essaie d'engager une réflexion sur un fait d'Histoire qui pourrait déboucher sur quelques explications comportementales exprimées par une partie de la population française d'origine Nord-Africaine au cours de faits divers bien contemporains, eux... Pas d'épanchement sur les militaires puisqu'ils agissaient en connaissance des risques en rapport avec leur métier (mon père en a réchappé, il est médaillé du Commando Georges des Ouled Bigeard), le drame à retenir est la trahison du Général De Gaulle, ou la parole donnée qu'on reprend et qui se solde par l'abominable éradication de 100 000 Harkis.
Je vous soumets cette lecture en cliquant ici .